La Corse contre les pratiques extrêmes

Ni naturisme, ni prière sur voie publique. 
La Corse ne tolère pas les extrêmes et le fait savoir :

En 2017, c'est un groupe de nudistes qui se trouvait sur a petite plage de Carataggio, également appelée "plage de Tahiti", dans la commune de Porto-Vecchio au sud de la Corse. Le patron de la paillote de cette plage "serait venu leur demander de s'habiller ou de partir". Cet homme serait ensuite retourné dans sa paillote. Quelques instants plus tard, des tirs de carabine à plomb ont été tirés sur les touristes, blessant légèrement une femme d'une trentaine d'années à la fesse gauche.
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En 2016, c'est un groupe de six prédicateurs venus du continent qui ont tenté de faire une prière sur une plage située dans la commune de Corbara près d’Ile-Rousse en Haute-Corse. Des personnes présentes ont demandé à ces prédicateurs de quitter les lieux. Plus tard ces religieux ont retrouvé leur camionnette avec les pneus crevés. Ils ont depuis quitté la Corse [...].
A noter que ces prédicateurs venaient depuis plusieurs années en Corse pour prêcher auprès des jeunes musulmans notamment et que les responsables de la mosquée d’Ile-Rousse n’ont a priori pas souhaité mettre à leur disposition le lieu de culte de la commune.

 Le président du Conseil exécutif de l'Assemblée de Corse, Gilles Simeoni, réagissait sur son compte Twitter en rappelant la tradition corse de liberté de culte mais en signifiant aussi son refus de l'intégrisme et du communautarisme. (Article complet ici)