dimanche 6 septembre 2020

Ces hommes d'églises vous diront la même chose après l'enlèvement




Ils sont désolés

« Je voudrais demander pardon. Pardon d'avoir pris à la légère cette crise. Pardon d'avoir regardé légèrement tous ces articles qui essayaient de nous alerter. Je n'ai pas su écouter. Pardon à Dieu pour mon égoïsme. » Face à la caméra, les yeux fermés, le pasteur de la Porte ouverte chrétienne Thiebault Geyer peine à retenir ses larmes.





Le 1er mars, l'Agence régionale de santé du Grand Est a contacté l'Église de la Porte ouverte pour la prévenir de l'infection de deux fillettes, présentes pour le jeûne et les prières du mercredi (295 enfants étaient présents). 

« En ce moment même, certains de nos frères et de nos sœurs sont à l'hôpital dans des souffrances terribles. Accordons-nous pour eux », a demandé le pasteur Geyer à ses fidèles, avant de les appeler à « soutenir dans la prière » deux des leurs, présents lors du rassemblement, et qui viennent de mourir du virus. Un homme de 83 ans et une femme de 67 ans. 

Dans cette église inaugurée en 2015, sur le modèle des « mega church » américaines (7 000 mètres carrés), le pasteur Thiebault Geyer est responsable du pôle jeunesse. Le pasteur principal, Samuel Peterschmitt, fils du fondateur de l'Église, Jean Peterschmitt, a lui aussi été testé positif. « Pourquoi moi ai-je été en forme ? » s'interroge Thiebault Geyer, qui y voit un signe du ciel : « J'ai un rôle à jouer. »

source:
https://www.lepoint.fr/societe/coronavirus-le-pardon-du-pasteur-evangelique-de-mulhouse-19-03-2020-2367865_23.php



Rappel - Ce sont les plus mauvais (chrétiens et autres) qui seront laissés après l’enlèvement. 
Ci-dessous un avant-gout de leurs réactions :
En proie quotidiennement à des messages de haine, et même des menaces de mort, le pasteur Samuel Peterschmitt, organisateur du rassemblement évangélique de Mulhouse, a été désigné comme responsable de la folle accélération de l’épidémie de coronavirus en France. 
Le pasteur star de l’Eglise Porte ouverte chrétienne est assis sur son canapé, dans son lumineux salon. Samuel Peterschmitt lit en articulant lentement : 
  • « Le principal responsable aurait dû crever afin que cette secte se rende compte du mal qu’elle a fait à Mulhouse ! ».
  • « Merci encore pour la pandémie française, nous savons qui vous êtes… ». Il explique : « Nous avons reçu des centaines de menaces comme celles-ci. » 
  • Regards hostiles.
  • Lettres anonymes.
  • Insultes.
  • Et même appels au meurtre « à coups de kalach » sur les réseaux sociaux… 
Samuel Peterschmitt craint le pire : « Nous sommes implantés dans un quartier très sensible. Et si un fou passait à l’acte et abattait les fidèles lors du prochain culte ? ». 
Déjà, une jeune femme a perdu son stage d’infirmière. Un agent d’entretien hospitalier a été violemment insulté sur son lieu de travail.

Très rapidement, ses fidèles ont été désignés comme les grands empoisonneurs de la population française ! Les responsables politiques et administratifs ont également pointé du doigt le pasteur et son église:
  • La préfète du Grand-Est et du Bas-Rhin, Josiane Chevalier, a identifié la réunion de l’Eglise évangélique comme la source de l’épidémie dans le Haut-Rhin: l'épidémie « est partie de ce rassemblement évangélique ». Elle a affirmé qu’il y avait eu « un non-respect des mesures barrières. On paie le prix fort de cette non-prise en compte des mesures de base : en résumé, tout ce qu’il ne faut pas faire. 
  • Christophe Lannelongue, alors directeur général de l’Agence régionale de santé (ARS) du Grand-Est, assurait aussi : une « espèce de bombe atomique nous est tombée dessus [...] qu’on n’a pas vue [...], un rassemblement qui aurait en fait largement diffusé le Covid-19 dans toute la France ». 
  • Le conseil scientifique a soutenu que « le rassemblement évangélique a tout fait basculer ». Sans lui « la France serait au même niveau que l’Allemagne en termes de contamination ». 
  • Même le ministre de la Santé, Olivier Véran, s’y est mis : « Le point de bascule, a-t-il déclaré, ça a été le rassemblement évangélique. »
source:


L'Eglise Evangélique Portes Ouvertes
Son fondateur, Jean Peterschmitt, fils d'agriculteurs mennonites de Haute-Saône, abandonne en 1970 sa carrière de confiseur en gros, quelques années après avoir créé la Porte ouverte chrétienne. Il y était poussé par la découverte, dit-il, du «Dieu du miracle», qui a guéri sa femme d'une hémiplégie à la suite des prières de Tsiganes pentecôtistes. 

Ainsi, Jean Peterschmitt fonde la plus grande megachurch bâtie sur le modèle américain, une affaire juteuse dont il a hérité de son père, un mennonite (anabaptiste). L'Eglise occupe un ancien hypermarché, racheté à bon prix, dans la banlieue de la ville. Elle a été inauguré en présence du sous-préfet de Thann-Guebwiller, Daniel Mérignargues, et d'élus locaux.
Son fils Samuel Peterschmitt sait tout faire. Il chante et danse près d'accortes jeunes choristes. 
D'autres prédicateurs prennent le relais. Comme Jacques Elbaz, juif converti, venu de Jérusalem : "Jésus revient bientôt, mais attention, le démon ne chôme pas. Portez tous le casque du salut." En Israël et en France, les juifs sont confrontés au "royaume des ténèbres". Il hèle son auditoire : "Est-ce que ce sont les juifs qui ont transpercé Jésus sur une croix ?" La foule hurle : "Non. Ce sont les Romains !". Les militants sionistes, un badge "Juifs pour Jésus" sur leur tee-shirt, exultent [...].

sources:





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