samedi 20 mars 2021

Histoire et Politique : brandir le vrai tout en proclamant publiquement qu'il est faux



Après l'Opération Moïse en 1984 (rapatriement clandestin des juifs d’Éthiopie du Soudan vers l’État d’Israël dans laquelle l’armée israélienne fut impliquée),
Après l'Opération Reine de Saba (Josué) en 1985 (transfert de juifs originaires d’Éthiopie, du Soudan vers Israël),
Après l'Opération Salomon en 1991 (évacuation de 14 500 Juifs éthiopiens en Israël en l'espace de trente-six heures),
Voici les "Accords d'Abraham" en 2020-21 (après les Emirats arabes unis, Bahreïn et le Maroc, le Soudan vient d'accepter à son tour de normaliser ses relations avec Jérusalem, au terme d'intenses tractations).

Le nom de ces opérations ne relèvent pas du hasard.

La Bible affirme que la femme de Moise était une fille du pays de Kouche, que l’on situe vers le Soudan et la Nubie (sud de l’Egypte, Nord d l'Ethiopie) et qu'elle avait la peau d’ébène.
Les Éthiopiens affirment être les descendants de Ménélik, fils du roi Salomon et de la Reine de Saba.
Abraham est le père d’Ismaël et Isaac. Le premier est de mère Égyptienne, le deuxième est de mère Israélienne. Ainsi Abraham constitue le dénominateur commun entre les communautés musulmanes et juives.

La mafia Khazare ne clamera jamais haut et fort ces vérités. Au contraire, elle préférera nier dans
un but de division et soumission des peuples.
Cependant, elle ne peut s'empêcher de nous narguer, d'où le nom des opérations évoquées plus haut.
Le modus operandi est de brandir sciemment la vérité sans la divulguer et traiter d'affabulateurs tout ceux qui dans une démarche honnête proclameraient la vérité. Ceux-ci se verront attaquer par une ribambelle de polémistes et maîtres à penser (par exemple en France: E. Zemmour, E. Lévy, Christine Angot Schwartz, A. Finkelkraut etc. )

Séphora femme de Moise
(représentation Jordaens)
Jacob Jordaens, né catholique et mort protestant, dresse en 1640 un portrait fort différent des représentations de Séphora sur les murs de la Chapelle sixtine. Jordaens avec ses contemporains Rubens et van Dyck est considéré comme l’un des trois grands peintres flamands au dix-septième siècle [...].
Les représentations de femme noire dans l’art occidental sont rares. Pourquoi Jordaens s’éloignerait-il sans justification des canons habituels de la peinture, s’égarant au point de ne pas figurer une femme avec une peau blanche à la manière de Boticelli lorsqu’il peint les filles de Jethro sur les murs de la Chapelle sixtine ? 
La raison en est probablement simple. Protestant, il ne manque pas de lire la Bible, découvrant que Séphora, d’origine madianite, était vraisemblablement de peau noire, une Ethiopienne, comme en témoigne le passage suivant se trouvant dans Habacuc, 3-7 : Je vois dans la détresse les tentes de l’Ethiopie, Et les tentes du pays de Madian sont dans l’épouvante. 
Il suffit alors de lire les trois passages de l’Exode et celui des Nombres, dans lesquels sont évoqués la femme de Moïse pour que tout s’éclaire, Séphora ne pourrait être que noire (voir les passages de la Bible en fin de chronique).

Séphora
(représentation Boticelli)
La jeunesse de Moïse (détail : Les filles de Jéthro).
Fresque de la chapelle Sixtine, réalisée par Sandro Botticelli (1481-82). Wikipédia.
Représentée comme une femme blanche à la Chapelle Sixtine, Séphora était pourtant une fille du pays de Kouche, que l’on situe vers le Soudan et la Nubie (sud de l’Egypte) et elle avait la peau d’ébène.









sources:




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