L’impôt sur les successions "peut être un levier important pour renforcer l’égalité des chances (balivernes !) et réduire la concentration des richesses" : un rapport de l’OCDE publié lundi plaide ainsi en faveur d’une hausse de la fiscalité sur l’héritage, plaidoyer remarquable venant d’une organisation internationale promouvant le libéralisme économique
L’OCDE pose plusieurs constats
- Un, le patrimoine est très inégalement réparti.
- Deux, cette inégalité tend à s’accroître, notamment avec la hausse des prix des actifs (en France, l’immobilier).
- Trois, les héritages contribuent à cette concentration de la richesse, les légateurs riches ayant souvent des légataires déjà très aisés.
Et l’OCDE n’hésite pas à bousculer quelques vaches sacrées
Elle note ainsi que les impôts sur les successions peuvent certes avoir des effets négatifs sur la transmission d’une entreprise familiale, mais qu’ils peuvent aussi "limiter les risques de transmission de capital à des héritiers moins qualifiés". Elle pointe les régimes trop favorables aux donations, qui permettent "aux transmissions de patrimoine d’échapper en grande partie à l’impôt".
L’OCDE préconise même de réduire des allègements "pour lesquels il n’existe pas de justification tangible, et qui ont tendance à être régressifs", c’est-à-dire à augmenter avec l’importance des sommes en jeu. Et de citer deux placements : l’épargne-retraite privée et les contrats d’assurance-vie, chéris des ménages français aisés.
source:
Parallélisme avec Les Protocoles des sages de Sion :
Chapitre VI:
Les monopoles ; les fortunes des chrétiens dépendent de ces monopoles. L’aristocratie privée de richesse foncière. Le commerce, l’industrie et la spéculation. Le luxe. La hausse du salaire et le renchérissement des objets de première nécessité. L’anarchie et l’Ivrognerie. Le sens secret de la propagande des théories économiques.
Bientôt nous instituerons d’énormes monopoles, réservoirs de richesses colossales, dont les fortunes même grandes des chrétiens dépendront tellement qu’elles y seront englouties, comme le crédit des Etats le lendemain d’une catastrophe politique...
Messieurs les économistes, ici présents, considérez l’importance de cette combinaison !...
L’aristocratie des chrétiens, en tant que force politique a disparu, nous n’avons plus à compter avec elle ; mais, comme propriétaire de biens territoriaux, elle peut nous nuire dans la mesure où ses ressources peuvent être indépendantes. Il nous faut donc absolument la déposséder de ses terres. Le meilleur moyen pour cela est d’augmenter les impôts sur la propriété foncière, afin d’endetter la terre. Ces mesures retiendront la propriété foncière dans un état de sujétion absolue. Les aristocrates chrétiens ne sachant pas, de père en fils, se contenter de peu, seront vite ruinés. En même temps il faut protéger le commerce et l’industrie fortement, et surtout la spéculation, dont le rôle sert de contrepoids à l’industrie ; sans la spéculation, l’industrie multiplierait les capitaux privés, elle améliorerait l’agriculture, en libérant la terre des dettes créées par les prêts des banques foncières. Il faut que l’industrie ôte à la terre le fruit du travail comme du capital, qu’elle nous donne par la spéculation l’argent du monde entier :.Jetés par là même dans les rangs des prolétaires tous les chrétiens s’inclineront devant nous pour avoir seulement le droit d’exister.
Nous ferons monter les salaires qui, cependant, ne rapporteront aucun profit aux ouvriers, car nous aurons fait naître en même temps un renchérissement des objets de première nécessité, dû, dirons-nous, à la décadence de l’agriculture et de l’élevage ; de plus, nous saperons adroitement et profondément les sources de la production, en habituant les ouvriers à l’anarchie et aux boissons spiritueuses [...].
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