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lundi 27 décembre 2021

Christophe Colomb ou le sionisme médiéval ?



Les conversos sont ces Juifs qui, il y a 500 ans, se sont convertis au christianisme en Espagne, puis poursuivis impitoyablement par l’Inquisition.
Les gens pensent que le roi Ferdinand et la reine Isabelle ont parrainé le voyage de Christophe Colomb. Pas vraiment. Ce qu’ils ont fait, c’est donner son approbation pour son exploration. Le voyage de Colomb fut entièrement financé par des conversos :
  • Luis de Santangel, chancelier de la maison royale d’Espagne
  • Gabriel Sanchez, trésorier d’Aragon. 
Pendant le voyage, le navigateur et le docteur de Colomb étaient des conversos. Plus significatif, le «traducteur» de Christophe Colomb était Luis de Torres. Puisque Colomb naviguait ostensiblement pour l’Inde, on pourrait penser qu’il aurait un traducteur qui parlait hindi. Mais Louis de Torres ne parlait pas l’hindi, sa spécialité était l’hébreu.
Pourquoi Colomb prendrait-il avec lui un orateur hébreu pour un voyage vers le Nouveau Monde? Parce que, selon Simon Wiesenthal dans son livre « Sails of Hope », Colomb ne cherchait pas l’Inde. Au contraire, sa mission secrète était de trouver les tribus perdues d’Israël. Après tout, les juifs faisaient l’expérience d’une persécution sans précédent en Europe et la légende raconte qu’à travers un plan d’eau mythique, les tribus perdues d’Israël avaient un puissant royaume indépendant. Ainsi, les conversos opprimés de l’Espagne ont financé Colomb afin de trouver un refuge pour leur peuple. C’était une forme de sionisme médiéval – une tentative désespérée de trouver une terre promise. [...]


Christophe Colomb

Si vous pensez que tout cela est tiré par les cheveux, considérez ceci: de plus en plus d’érudits en viennent à croire que Christophe Colomb lui-même était d’origine juive.
Au cours de sa vie, comme tous les conversos, Colomb était délibérément trompeur quant à ses origines et son identité. Même aujourd’hui, l’Italie insiste sur le fait qu’il était Christophoro Columbo de Gênes, tandis que l’Espagne le réclame comme son propre Cristobal Colon. En fait, il est revendiqué par de nombreux pays dont l’Italie, l’Espagne, la Pologne et même la Suède! Aucune version officielle n’explique comment ce fils supposé du pauvre tisserand est arrivé au Portugal à l’âge de 25 ans, travaillant comme cartographe, sa vaste éducation en contradiction avec ses humbles racines. En d’autres termes, Columbus a gardé ses croyances secrètes. L’Inquisition n’était jamais loin.
Columbus a utilisé une variété de symboles énigmatiques sur ses divers documents. Par exemple, 
  • Le coin supérieur gauche de toutes les 13 lettres écrites par lui à son fils Diego contenait les lettres manuscrites hébraïques bet-hei, signifiant «b’ezrat Hachem» (avec l’aide de Dieu). Les Juifs observateurs ajoutent habituellement cette bénédiction à leurs lettres. Aucune lettre aux étrangers ne porte cette marque, et la seule lettre à Diego dans laquelle il a été omis était destinée au roi Ferdinand.
  • De plus, Columbus n’a pas signé son nom sur des documents personnels. Au lieu d’une signature, il a utilisé un symbole secret – une signature triangulaire de points et de lettres qui ressemblent à des inscriptions trouvées sur les pierres tombales des cimetières juifs en Espagne. Il a ordonné à ses héritiers d’utiliser cette signature énigmatique à perpétuité. Selon «L’Histoire des Marranes» de Cecil Roth, l’anagramme était un substitut cryptique du Kaddish, une prière récitée dans la synagogue par des personnes en deuil après la mort d’un proche parent. De cette façon, le subterfuge de Colomb permettait à ses fils de dire Kaddish pour leur père crypto-juif à sa mort.
L’un des mystères les plus durables à propos de Columbus est qu’il semble être un Genoan qui ne parle pas italien. En outre, cet individu très instruit a toujours intrigué les linguistes avec son espagnol non grammatical. Mais, plus récemment, Estelle Irizarry, professeur de linguistique à l’Université de Georgetown, a analysé le langage et la syntaxe de centaines de lettres manuscrites, de journaux intimes et de documents de Columbus. Après une étude scientifique pluriannuelle, elle a conclu que la principale langue écrite et parlée de l’explorateur était l’espagnol castillan connu sous le nom de « Ladino », la langue quotidienne de la communauté juive espagnole. En effet, l’enquête d’Estelle Irizarry a sorti les théories concernant l’identité de converso de Colomb hors du domaine de la spéculation et les a placées carrément dans le domaine de la science.

Il semble donc que Colomb était un converso, entouré de conversos et financé par des conversos, faisant une tentative désespérée pour trouver une terre où ils pourraient tous être ouvertement juifs. Ils n’ont jamais trouvé les tribus perdues d’Israël (bien que, à ce jour, c’est un principe fondamental du mormonisme que les Amérindiens soient les tribus perdues d’Israël). Ils ont, cependant, trouvé un refuge sûr pour les Juifs et il est sûr que Colomb et les différents membres de la famille Torres qui l’ont soutenu auraient trouvé une satisfaction dans le fait que l’Etat d’Israël ait pu renaître et que son plus grand partisan est le pays qu’ils ont fondé. [...]

Pourquoi est-ce que Christophe Colomb se mettait en quête d’avoir de l’or ? Il exprime ceci auprès de ses souverains: « J’aimerais que tous les profits de cette entreprise, soient envoyés afin de reconquérir Jérusalem. »
Un fameux décret de l’Alhambra fut promulgué le 31 mars 1492 par Isabelle la Catholique et Ferdinand de Castille. Son objectif ? Arrêter l’extension du judaïsme et de laisser quatre mois, aux Juifs, de se convertir au Catholicisme ou de partir en exil hors d’Espagne. C’est dans ce contexte mouvementé que Christophe Colomb vit le jour.  Certains laissent entendre: qu’il est de descendance Marrane de la Galice qui se convertit en 1391. Il aurait fréquenté tout jeune les communautés juives et aurait grandit, avec le désir secret de trouver une terre d’accueil pour les Juifs forcés à s’exiler. Certains ajoutent qu’il aurait même été à la recherche des dix tribus perdues.


Mais qu’il y a-t’il, comme preuves?

  • Selon les documents, des personnes juives étaient à bord de ses bateaux.
  • Christophe Colomb emmena avec lui un interprète parlant Hébreu répondant au nom de Luis de Torres, un juif. 
  • Le départ des caravellles a une date de départ étrangement proche de celle du décret de l’Alhambra: le 31 juillet 1492. Si on convertit cette date sur celle du calendrier Hébreu, cela correspond à une date de mauvaise augure: celle du 9 Av, journée de deuil et de jeûne dans l’histoire des Hébreux, et aussi la date anniversaire de la destruction du 1er et 2ème Temple de Jérusalem. Encore une coïncidence?
  • Lors de son premier voyage, dans sa lettre adressée aux rois Catholiques, il mentionne l’expulsion des Juifs d’Espagne, sujet qui, officiellement, ne devait rien avoir avec son voyage. Il a mentionné que le Dieu du Roi David était aussi le sien.
  • Sur les lettres envoyées à son fils Diego, il inscrivait deux initiales écrites en lettres Hébraïques : Bet et Hei. Ce sont deux lettres qui correspondent à la prière juive BéEzrat HaShem qui signifient : «Avec l’aide de D.» (les Juifs ne prononcent pas le nom de Dieu mais l’appelle «Le Nom» écrit «le N.» ). Dans sa signature aussi: on pouvait retrouver les deux lettres qui correspondent aux initiales d’une bénédiction hébraïque (la représentation triangulaire de l’étoile de David avec ses six pointes).
  • La toute première lettre de Christophe Colomb lors de son premier voyage fut écrite à l’attention de deux marranes : Luis de Santangel et Gabriel Sanchez qui avaient subits l’inquisition de l’Eglise parce qu’ils étaient Juifs.
  • Christophe Colomb devint Vice-Roi de la Jamaïque. Il demanda aux souverains d’Espagne d’autoriser les (nouveaux convertis) marranes à y immigrer bien qu’une interdiction, à cette époque, leur avait été faite de quitter le pays. Sur son lit de mort, il demanda à sa belle-fille, veuve de son fils Diego de protéger les marranes d’origine Juives et d’empêcher l’Inquisition de s’installer en Jamaïque.
  • Dans son testament, il légua un dixième de son patrimoine aux jeunes filles nécessiteuses ainsi qu’une partie à un juif qui était dans le quartier juif de Lisbonne. Là encore, son testament comportait une étrange signature qui rappelait la forme triangulaire ornée de points et de lettres qui ressemblent à celles trouvées sur les pierres tombales de juifs en Espagne. Il demanda à sa descendance de perpétuer cette signature

sources:







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