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lundi 25 juin 2018

DOSSIER | Crash des MH17 et MH370 : certains passagers et éléments méritent attention...


Le MH17
Le vol 17 Malaysia Airlines (code AITA : MH17) était un vol international régulier reliant Amsterdam à Kuala Lumpur, qui a été abattu en vol le 17 juillet 2014 dans la région de Donetsk, dans l'est de l'Ukraine où un conflit armé était en cours mais sans que le survol soit interdit aux avions civils. Aucun survivant n'est retrouvé parmi les 283 passagers et 15 membres de l'équipage du Boeing 777-200ER2.
L'armée ukrainienne et les séparatistes pro-russes, opposés lors de la guerre du Donbass, s'accusent mutuellement d'avoir abattu l'appareil.

Plusieurs passagers du Boeing se rendaient à AIDS2014, la conférence mondiale sur le sida qui se déroulait du 20 au 25 juillet 2014 à Melbourne en Australie. Vendredi, la presse australienne avait évoqué le chiffre d'une centaine de spécialistes à bord de l'avion, parmi lesquels des médecins, des chercheurs et des militants. Tous spécialisés dans le domaine du sida dont certains membres de l'Organisation mondiale de la santé (OMS)
Parmi les victimes, le chercheur néerlandais Joep Lange, ancien président de la Société internationale sur le sida et éminent professeur, qui depuis 30 ans consacrait sa vie au traitement du VIH et aux soins en Asie et en Afrique, était à bord avec son épouse.
L'IAS a confirmé les noms des six congressistes tués : Pim de Kuijer (Stop aids now!), Joep Lange co-directeur de la HIV Netherlands Australia Research Collaboration (HIV-NAT), Lucie van Mens directeur de AIDS Action Europe, Maria Adriana de Schutter (AIDS Action Europe), Glenn Thomas (Organisation mondiale de la santé, OMS), Jacqueline van Tongeren (Amsterdam Institute for Global Health and Development).

sourceshttps://fr.wikipedia.org/wiki/Vol_17_Malaysia_Airlines
https://www.lejdd.fr/International/Qui-etaient-les-passagers-du-vol-MH17-de-la-Malaysia-Airlines-676676
https://www.lemonde.fr/europe/article/2014/07/17/un-avion-de-ligne-malaisien-s-ecrase-en-ukraine_4459089_3214.html



Le MH370 
Le vol 370 Malaysia Airlines (code AITA : MH370) est un vol international régulier de la compagnie aérienne Malaysia Airlines reliant Kuala Lumpur à Pékin. L'appareil, un Boeing 777-200ER qui transportait 239 personnes dont une majorité de ressortissants chinois, est porté disparu depuis le 8 mars 2014.
La liste des passagers « officiels » a attiré l’attention sur deux ressortissants iraniens voyageant sous des passeports volés. Leurs billets avaient été pris depuis l’Iran auprès d’une agence de voyage thaïlandaise. L’enquête a rapidement conclu que ces deux hommes n’étaient pas répertoriés par les agences antiterroristes. En même temps, on sait très bien que les agents des centrales d’espionnage de certains pays ne le sont jamais.
Mais quel aurait été, pour l’Iran, l’intérêt de s’impliquer dans une action de pareille envergure, à ce moment du conflit qui l’oppose aux Occidentaux ?

Freescale Semiconductor
Une société américaine de semi-conducteurs, Freescale Semiconductor, a déploré la perte de vingt de ses employés qui empruntaient ce vol pour se rendre à une réunion d'affaires à Pékin. Douze de ces employés étaient Malais et huit de nationalité chinoise.
Les 20 employés de Freescale, étaient principalement des ingénieurs et experts pour les autres, a déclaré Mitch Haws, vice-président, communications mondiales et relations avec les investisseurs.
"Il s'agissait de personnes ayant beaucoup d'expérience et de connaissances techniques et qui étaient des personnes très importantes", a déclaré M. Haws. "C'est définitivement une perte pour l'entreprise."

Quatre jours après la disparition du vol MH370 un brevet est approuvé par le Bureau des Brevets.
4 des 5 individus titulaires du brevet sont des employés de Freescale Semiconductor à Austin au Texas. Le brevet a été partagé en 5 parties de 20% pour chaque titulaires, dont la répartition est la suivante :

Peidong Wang, Suzhou, Chine (20%)
Zhijun Chen, Suzhou, Chine (20%)
Zhihong Chen, Suzhou, Chine (20%)
Li Ying, Suzhou, Chine (20%)
Freescale Semiconductor, Etats-Unis (20%)

Si un titulaire du brevet meurt, alors les titulaires qui restent se partagent équitablement les dividendes d’une augmentation.
Si 4 titulaires du brevet sur 5 meurent, alors le titulaire restant possède 100% des profits accumulés par le brevet.
Le dernier titulaire vivant du brevet est Freescale Semiconductor.

Qui possède Freescale Semiconductor ? Jacob Rothschild via Blackstone. Cependant, sur son site web archivé, Blackstone mentionne Jacob Rothschild comme étant un simple membre de son Conseil consultatif international...
Pour information, voici comment Blackstone décrit la mission de son Conseil consultatif :
"Le conseil consultatif international de Blackstone est composé de personnes hautement respectées qui possèdent une vaste expérience dans les secteurs privé et public. Le Conseil consultatif international offre à l'entreprise une perspective mondiale unique, de solides connaissances régionales et un accès à une multitude de relations qui améliorent notre capacité à servir nos clients et à saisir les opportunités dans le monde entier".
Le dernier point laisse pensif ,"saisir les opportunités dans le monde entier"...

A voir (en anglais, sous-titres fr disponibles):


A savoir que les enquêteurs ont considéré un détournement par la douceur (au lieu d’un détournement par la force), autrement dit par une ­action directe sur l’informatique - contrôle à distance depuis un ordinateur connecté à l’intérieur ou à l’extérieur. Les Américains n’ont pas été les seuls à développer des technologies dans ce sens et il est théoriquement possible que cet avion ait été détourné par une action sur l’informatique embarquée. Sans doute faut-il voir une coïncidence dans le fait que la société Freescale Semiconductor soit elle-même impliquée dans ce type de technologie ?

sources : https://fr.wikipedia.org/wiki/Vol_370_Malaysia_Airlines
https://www.linkedin.com/pulse/coincidence-rothschild-inherits-freescale-patent-bryan
https://worldtruth.tv/rothschild-inherits-a-semiconductor-patent-for-freescale-semiconductors/
https://web.archive.org/web/20111219022248/http://www.blackstone.com/cps/rde/xchg/bxcom/hs/firm_leadership_advisoryboard.htm


D’autres éléments découverts mais ignorés par les enquêteurs
Très vite, après la disparition de l’avion, une perquisition a été effectuée au domicile du commandant de bord. On y a ­découvert un simulateur de vol où il s’entraînait à des atterrissages sur des pistes courtes, comme celles des Maldives ou de Diego Garcia, cette puissante base militaire américaine qui trône au milieu de l’océan Indien. Dépêchés sur place, des enquêteurs du FBI ont saisi le simulateur pour conclure que les données avaient été effacées un mois avant. Le pilote complotait-il ou s’entraînait-il, comme ses collègues, à atterrir dans des configurations d’urgence ?
D’utres faits, assez largement minimisés, ont conduits les journalistes de Paris Match aux Maldives, au-dessus de Diego Garcia. Des habitants de l’île de Kudahuvadhoo, à l’extrême sud de l’archipel, y ont fourni des témoignages dont le ministre indonésien des Transports a très vite nié l’existence.
Deux semaines après La disparition, au large des Maldives des adolescents repêchent un extincteur de Boeing. Aussitôt récupéré par l’armée...

Le matin du 9 mars, peu avant 7 heures, des villageois de cette île sans touristes ont vu passer dans le ciel un avion de grande taille, comme ils n’en avaient jamais vu auparavant. Parmi ces témoins, un pêcheur d’une cinquantaine d’années se trouvait dans l’eau jusqu’à la taille. Il a suivi l’avion depuis son arrivée jusqu’à sa disparition dans le ciel, à une altitude qui lui permettait de voir les hublots : « J’ai vu un avion énorme nous survoler à basse altitude. Il faisait beaucoup de bruit. Il a fait un virage au sud-sud-est et il a continué à la même altitude. J’ai vu des stries rouges et bleues sur une couleur blanche. »
Aucun des ­témoins ne savait alors qu’un avion avait disparu. Leurs récits ont été recueillis par la police puis l’armée des Maldives, sans suite. L’armée leur a d’ailleurs demandé de ne pas nous parler, mais les habitants de l’île, à quatre heures de la capitale par bateau rapide, n’en ont pas moins continué à témoigner de façon désintéressée. Pourquoi aucun enquêteur officiel n’est-il venu ­recueillir leurs témoignages ? Parce qu’ils convergeaient tous sur le fait que l’avion se dirigeait vers Diego Garcia ? Les témoins de ­Kudahuvadhoo, pêcheurs, informaticien à l’hôpital local, écolier, mère de famille, s’offusquent que le ministre des Transports malaisien ait été jusqu’à dénier leur parole. Autre élément important, l’avion a fait un virage au-dessus de l’île pour s’aligner sur le sud-est, signe que quelqu’un le pilotait, de l’intérieur ou de l’extérieur.
Les témoins interrogés ont tous confirmé qu’ils n’avaient jamais vu un avion à réaction passer au-dessus d’eux, raison pour laquelle ils s’en étaient inquiétés au point de rapporter leur découverte aux autorités.

Une autre découverte « sensible », dans ce même archipel, a été ignorée par les investigateurs.
Un peu plus de deux ­semaines après la disparition, des adolescents qui pêchaient près des côtes de l’île de Baarah, dans le nord de l’archipel, ont vu flotter un objet étrange qu’ils ont ramené sur la plage. Pensant qu’il pouvait s’agir d’une chose dangereuse, les autorités locales ont alerté l’armée, qui a dépêché une première équipe. Elle a conclu à la non-dangerosité de l’objet, qu’une seconde équipe militaire a ensuite emporté. Selon nos informations, il aurait été confié à Boeing qui n’a, depuis, fait aucun commentaire sur cette trouvaille .
Après avoir récupéré les photos prises par le maire de Baarah, les journalistes de Paris Match les ont transmises à un responsable de la maintenance d’une grande compagnie aérienne et à un spécialiste basé à Los Angeles. Tous deux ont conclu à une forte similitude avec un extincteur de Boeing. Un militaire des Maldives a également confirmé, sous le sceau du secret, qu’il s’agissait bel et bien d’un extincteur. Qu’il ait pu flotter indique évidemment qu’il était vide, donc déclenché automatiquement lors d’un incendie. Pendant plus de deux semaines, l’objet peut avoir dérivé, en fonction des courants, sur plusieurs centaines de kilomètres.
Le fait que les autorités aient ignoré ces indices laisse penser qu’elles en savent beaucoup plus qu’elles ne veulent bien le dire, comme si aucune nouvelle preuve ni aucun nouveau ­témoignage ne devaient venir perturber le mutisme qui, peu à peu, a recouvert le plus grand mystère à ce jour de l’histoire de l’aviation. Quelqu’un sait, c’est la seule conviction solide qui ­ressort de cette enquête. Conviction partagée par Tim Clark, le président de la compagnie Emirates : « L’avion est resté sous contrôle jusqu’au bout, [...] ».
Quelques-uns, quelque part, pensent que la protection de leurs sombres intérêts, stratégiques, militaires ou autres, vaut mieux que l’information des familles des victimes happées par cette tragédie. Il semble désormais que chaque Etat s’en fasse le complice, y compris le nôtre (la France).


Brouillage de pistes et agents espions pour y veiller ?
Si aucune hypothèse n’est certaine, il apparaît toutefois de plus en plus évident qu’on a cherché l’avion dans la mauvaise direction sur les seules indications d’une société de satellite anglaise, Inmarsat, elle-même très liée aux services de renseignement.
D’autres indices, comme la soudaine interdiction faite aux familles chinoises de se manifester, laissent penser que la transparence n’est pas privilégiée.
La personnalité même de Sarah Bajc, une Américaine qui a pris la tête de la défense des familles de victimes à Kuala Lumpur et qui a elle-même fait sa carrière dans des entreprises impliquées dans le contrôle des avions à distance, comme la société israélienne Tescom, pose plus de questions qu’elle n’en résout.

sourcehttp://www.parismatch.com/Actu/International/Le-mystere-du-vol-MH370-2-2-675084





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