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mercredi 1 septembre 2021

La médecine en France et son déclin


Dans cet ouvrage, le basané et surtout la mafia Khazare en prennent pour leurs grades.
L'auteur, Fernand Querrioux, se montre parfois très insultant ce qui affecte quelque peu la crédibilité et la véracité de ses dires. Car hélas, trois fois hélas, il y a des vérités dans cet ouvrage.
A tel point que l'on comprend le pourquoi du déclin de la médecine en France. Dans le même temps, on espère que les dires de l'auteur soient faux. Bref lecture déconseillée aux âmes sensibles...


Extrait:

"Chez nous, en France, l’étudiant, le stagiaire a libre accès dans les salles de malades, il suit la visite du chef de service et de ses assistants, il assiste à l’examen et à l’interrogatoire d’un grand nombre de malades dans la même matinée, est invité à palper, à percuter, à ausculter, c’est-à-dire à constater les signes et symptômes que le chef de service a constatés et commentés devant lui.
Or, cet enseignement individuel, pratique et raisonné est impossible à réaliser quand les élèves sont en nombre trop considérable. « Tout enseignement pratique devient illusoire quand il s’adresse à un trop grand nombre et à une qualité médiocre » écrivait M. le Professeur Carnot dans Paris Médical du 9 novembre 1929. 
Si déjà en 1929 le nombre exagéré des étudiants nuisait à l’enseignement médical, quelle ruée de métèques il devait y avoir dans les bâtiments scolaires et les hôpitaux à l’âge d’or du Front Populaire enjuivé ! [...].

« Prendre avant que de s’aller coucher un lavement de gorge ».
« Prendre de 5 à 6 culerés par jour ».
« A la datte du, etc. »

Ce « lavement de gorge », ces « culerés » à boire, cette « datte du » sont un aperçu des connaissances linguistiques de ces nouveaux « vranzaiss ».
Ces parasites de la médecine, leur diplôme obtenu, cherchaient une place par tous les moyens,
d’où la curée de conseillers médicaux superflus, d’inspecteurs d’hygiène supplémentaires, de ‘tartufes de dispensaires, enfin des imposteurs de tout ordre.
Des difficultés sans cesse croissantes qu’éprouvaient les médecins à vivre de leur profession, il résulte une véritable commercialisation de la médecine par ces morticoles qui tripotent dans les accidents du travail, les faux certificats, etc., etc... 

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