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lundi 4 janvier 2021

La Mafia Khazare derrière l'assasinat du dernier Tsar de Russie



Alexandre Ier
L’invasion de la Russie par Napoléon en 1812 ébranla profondément le peuple Russe. Le Tsar Alexandre Ier entreprit de restaurer la situation. Dans l’espoir de réaliser l’union dans tout l’Empire Russe, il desserra l’étau des restrictions imposées aux Juifs dans le Secteur de Colonisation dès 1772. [...] On essaya avec détermination de faire travailler les Juifs dans l’agriculture et sous Alexandre Ier on les encouragea à l’assimilation selon le mode de vie Russe. Benjamin Disraeli qualifiait Alexandre Ier de «Prince le plus bienveillant qui régna jamais sur la Russie».

Nicolas Ier succéda à Alexandre Ier en 1825. Il était moins décidé à favoriser les Juifs, car il constata avec effroi leurs rapides avancées dans l’économie russe. Son gouvernement vit d’un très mauvais œil la détermination des Juifs à maintenir leur culture à part, de même que leur langue, leur façon de s’habiller… Pour essayer d’assimiler les Juifs dans la société russe, Nicolas 1er rendit obligatoire en 1804 l’école publique aux enfants Juifs. Le Tsar pensait que si l’on pouvait convaincre les jeunes Juifs qu’ils seraient bien accueillis dans la société russe, cela permettrait de dissiper un tant soit peu les malentendus. Son intention était d’effacer l’histoire des persécutions religieuses qu’on enfonçait dans l’esprit des jeunes juifs dès la prime enfance.
Le résultat de l’expérience russe ne fut pas celui que l’on escomptait. L’Instruction des enfants non-Juifs n’était pas obligatoire. Les Juifs devinrent les personnes les plus instruites en Russie



Alexandre II
Alexandre II suivit Nicolas Ier sur le trône de Russie en 1855. Alexandre consacra sa vie à améliorer les conditions de vie des paysans, des classes plus pauvres et des Juifs. En 1861, il affranchit 23.000.000 de serfs. On avait obligé cette classe malheureuse à travailler la terre. Ces serfs étaient quasiment des esclaves. Ils pouvaient être cédés d’un propriétaire à un autre lors des ventes (ou des baux) de propriétés terriennes. De nombreux Juifs, qui avaient tiré avantage de l’instruction obligatoire, s’inscrivirent dans les universités. Il leur était très difficile de trouver un emploi lorsqu’ils sortaient diplômés.
Afin de réparer cette injustice, Alexandre II décréta que tous les diplômés Juifs auraient la possibilité d’exercer leurs professions dans le gouvernement de la Grande Russie. En 1879, des pharmaciens, des infirmières, des sages-femmes, des dentistes, des distillateurs et des artisans qualifiés, tous juifs, eurent l’autorisation d’exercer leur profession et de résider partout en Russie. Mais les dirigeants révolutionnaires Juifs étaient décidés à poursuivre leur mouvement de Révolution Mondiale Populaire. Leurs groupes terroristes commirent provocations sur provocations, travaillèrent pour s’assurer le soutien d’intellectuels Russes aigris et pour enraciner l’idée de révolution violente dans les esprits de la population ouvrière.

En 1866, ils attentèrent une première fois à la vie du Tsar Alexandre II et essayèrent de l’assassiner une deuxième fois en 1879. Les deux attentats échouèrent de façon miraculeuse. Il fut alors décidé, et l’on s’y employa particulièrement, de destituer Alexandre. Son règne bienveillant bouleversait complètement leurs revendications : «on ne pouvait instituer rapidement les réformes nécessaires que par une action révolutionnaire rapide». Les conspirateurs préparèrent le complot suivant contre la vie d’Alexandre II dans la maison de la Juive Hesia Helfman, et le Tsar fut assassiné en 1881.

L’assassinat du «Petit Père» des Russes en 1881 suscita un ressentiment général qui se traduisit par une explosion spontanée de violence envers la population juive dans de nombreux endroits de Russie. Le gouvernement russe promulgua «Les Lois de Mai» qui étaient très sévères car les officiels russes défenseurs de ces lois, prétendirent «que si la politique bienveillante d’Alexandre II ne pouvait satisfaire et réconcilier les Juifs, il serait alors évident que seule la domination absolue de la Russie pourrait les satisfaire». Et de nouveau, la Race Juive tout entière fut punie pour les crimes de quelques dirigeants révolutionnaires patentés.



Alexandre III
Le 23 Mai 1882, une délégation Juive, conduite par le Baron Ginzberg (Ginzberg était le représentant officiel de la Maison Rothschild en Russie), rendit visite au nouveau Tsar Alexandre III et protesta officiellement contre les Lois de Mai. Le Tsar promit une enquête approfondie sur la question du conflit entre les factions Juives et non-Juives dans la population de l’Empire. Le 3 Septembre il prononça le discours suivant : 
«Pendant un certain temps le gouvernement s’est consacré aux Juifs, à leurs problèmes et à leurs relations avec le reste de la population de l’Empire. Il a constaté les tristes conditions de vie que la conduite des Juifs dans les questions financières avaient imposées à la population chrétienne. Au cours des vingt dernières années, les Juifs ne se sont pas seulement immiscés dans toutes les branches du commerce et des affaires. Ils ont également accaparé une grande partie de la terre par achat ou fermage. A quelques exceptions près, ils ont comme un seul homme, consacré leurs efforts non pas à enrichir ou faire bénéficier le pays, mais à frustrer le peuple russe grâce à leurs ruses. Les pauvres ont particulièrement souffert de cette conduite qui a provoqué les protestations justifiées du peuple ainsi que des actes de violence envers les Juifs. D’un côté, le gouvernement faisait de son mieux pour supprimer ces troubles et délivrer les Juifs de l’oppression et des massacres ; d’un autre côté, il considérait qu’il était urgent et juste d’adopter des mesures radicales pour mettre fin à l’oppression des Juifs vis-à-vis des autres habitants et pour débarrasser le pays de leurs malversations qui étaient, nous le savons bien, l’origine des agitations anti-Juives.
L’ «Encyclopedia Britannica», à la page 76 de son tome 2 (édition de 1947) déclare à propos des Lois de Mai : "Les Lois de Mai Russes furent le plus remarquable monument législatif qu’ait réalisé l’antisémitisme moderne… ". Leur résultat immédiat fut une dépression commerciale ruineuse ressentie par tout l’Empire et qui affecta profondément la confiance en l’économie du pays. Le ministre russe ne savait plus comment faire pour trouver de l’argent et l’on entreprit des négociations avec la Maison Rothschild pour un gros emprunt. Un projet de contrat venait d’être signé lorsqu’on déclara au ministre des Finances que si les persécutions contre les juifs ne prenaient pas fin, la grande maison bancaire se verrait obligée de se désister…

Après que le Tsar Alexandre III eût rendu son verdict accusant les Juifs avares d’être la cause des troubles et de la ruine économique de l’Empire, les agents révolutionnaires organisèrent le «Parti Social-Révolutionnaire». On nomma à sa tête un homme tout à fait impitoyable — Gershuni — qui fut l’organisateur des Groupes Terroristes. Un tailleur du nom de Yevno Azev eut la charge de mettre sur pied les «Sections Combattantes». Les dirigeants du Parti Social-Révolutionnaire insistèrent également sur l’importance d’enrôler des Gentils dans le mouvement. Les Gentils qui réussirent aux tests auxquels on les soumit, devinrent membres à part entière. Ce fut cette décision qui amena Alexandre Ulyanov dans le Parti. Avant d’être admis par les dirigeants révolutionnaires comme membre à part entière, on lui ordonna de prendre part au complot visant à assassiner le Tsar Alexandre III. L’attentat contre la vie du Tsar échoua et Alexandre Ulyanov fut arrêté, jugé et condamné à mort. Son exécution fut l’origine du dévouement de son plus jeune frère, Vladimir, à la cause révolutionnaire. Vladimir escalada les marches du pouvoir jusqu’à devenir dirigeant du Parti Bolchevik. Il prit le nom de Lénine et devint par la suite le premier dictateur de l’U.R.S.S.

Entre 1900 et 1906, le Parti Révolutionnaire provoqua de graves troubles dans le inonde du travail et créa de profonds malentendus entre les classes de la société russe. [...]
On prescrivit de sérieux remèdes qui consistaient en meurtres et assassinats à grande échelle. Le bouillon se répandit sous la forme de la révolution de 1905.

  • La Section Terroriste des Révolutionnaires Sociaux assassina des officiels en 1901, dont le ministre de l’Instruction, Bogolepov. On perpétra cet assassinat afin de prendre en compte le ressentiment Juif vis-à-vis de la clause sur l’instruction dans les Lois de Mai. Cette clause limitait le nombre de Juifs s’inscrivant dans les écoles et les universités subventionnées par l’État, en fonction du pourcentage que représentait la population Juive par rapport à l’ensemble de la population russe. On vota cette mesure parce que les étudiants Juifs avaient envahi les écoles financées par l’État, puis on confia à un groupe de jeunes Juifs qui avaient souffert de la clause sur l’instruction des Lois de Mai (de 1882) — lorsqu’ils étaient enfants — la tâche d’assassiner le ministre de l’Instruction. Ils devaient faire la preuve de leur courage et montrer leur capacité à accomplir leurs devoirs dans la Section Terroriste du Parti Social Révolutionnaire.
  • L’année suivante, en 1902, le ministre de l’Intérieur — Sipyagin — fut assassiné pour accentuer le ressentiment Juif envers les Lois de Mai qui avaient retourné la politique bienveillante d’Alexandre II et interdit aux Juifs de vivre en dehors de la Zone de Colonisation. Les Juifs qui avaient été expulsés de leurs habitations dans la Grande Russie, lorsqu’ils étaient enfants sous les Lois de Mai, se virent confier cette «exécution». Ils ne commirent aucune faute. 
  • En 1903, on assassina Bogdanovitch, Gouverneur d’Ufa ; en 1904, on tua le Premier ministre russe, Vischelev von Plehve. 
  • En 1905, la première révolution russe à grande échelle éclata. Le 17 Février on assassina l’oncle du Tsar, le Grand Duc Serge. 
  • En Décembre 1905, le Général Dubrassov élimina les révolutionnaires mais en 1906, la Section Terroriste l’assassina.
Après que le Tsar eut accusé les Juifs de la triste situation en Russie, le Baron Ginzberg reçut la mission d’œuvrer pour la destruction de l’Empire Russe. Pour déclencher la guerre Russo-japonaise, les Rothschild d’Europe feraient mine d’être agréable à la Russie. Ils financeraient la guerre du côté russe pendant que les associés des Rothschild, Kuhn-Lœb & Co de New-York, financeraient secrètement le gouvernement japonais. On rendrait la défaite russe effective lorsque les Rothschild retireraient leur aide financière au moment où elle serait nécessaire et on créerait le chaos et la confusion dans les forces armées russes en Extrême-Orient par le sabotage des voies de communication et de transport qui traversaient la Sibérie. Ceci conduisit la Marine et l’Armée russe à manquer de ravitaillement et de renfort.  Les Banquiers Internationaux fomentèrent la Guerre Russo-japonaise afin de créer les conditions souhaitées pour le succès d’un coup d’état révolutionnaire destiné à renverser le pouvoir des Tsars.
Lénine mit sur pied le «Komintern», Comité Central de Direction Révolutionnaire International et les Banquiers Internationaux le choisirent comme leur agent au plus haut niveau, en Russie. Lénine avait très sérieusement étudié la Grande Révolution Française de 1789. Lorsqu’il apprit que «Le Pouvoir Occulte» qui avait provoqué la Révolution Française était encore très actif, il décida d’avoir partie liée avec lui. Son plan était de faire croire aux membres du Komintern qu’ils étaient les «Cerveaux» mais aussi d’influencer leurs pensées de façon à leur faire poursuivre les Plans à Longue Echéance des Banquiers Internationaux. Lorsqu’on ne pourrait plus contrôler les dirigeants révolutionnaires, il leur serait alors possible de les liquider. [...]

 Ayant fixé sa politique, Lénine revint en Russie avec Martov pour organiser sa Campagne de Collecte d’argent, ramassis de chantages, de vols dans les banques, d’extorsions et de toutes sortes de pratiques illégales. Lénine prétendit qu’il était tout à fait logique de prendre l’argent du peuple et de comploter le renversement du gouvernement. Il établit un principe dans son parti : tous les jeunes gens qui aspiraient à en être membres devraient, comme son frère aîné Alexandre, révéler leur courage physique et leur vivacité mentale. Lénine insista sur le fait que chaque stade d’entraînement révolutionnaire de jeunes comprendrait le cambriolage d’une banque, la destruction d’un poste de police et l’élimination d’un traître ou d’un espion. Lénine recommanda également à tous les «dirigeants» révolutionnaires des autres pays de mettre en place une organisation souterraine («Underground»). En discutant de ce sujet et en écrivant à ce propos, Lénine déclara : «Tout ce qui est légal et illégal et qui favorise le mouvement révolutionnaire est justifié». Il avertit toutefois que «le parti légal serait toujours sous le contrôle du parti illégal.



Ultime complot sous Nicolas II
Lénine était allé à Genève consulter le «Pouvoir Occulte» lorsque la révolution éclata, suite à la tragédie du Dimanche Sanglant de St Petersburg en Janvier 1905. Il ne revint pas en Russie jusqu’en Octobre. On accusa le Tsar d’intolérance pour la tragédie du Dimanche Sanglant, mais ceux qui scrutèrent les événements, trouvèrent de nombreuses preuves qui les convainquirent de la provocation. L’incident du Dimanche Sanglant avait été concocté par le groupe terroriste dans le dessein d’exacerber la colère et la haine dans le cœur des ouvriers non-Juifs vis-à-vis du Tsar. L’incident permit aux dirigeants du Mouvement Révolutionnaire de s’assurer le soutien de milliers d’hommes et de femmes non-Juifs qui, jusqu’à ce triste jour, étaient restés fidèles au Tsar et parlaient de lui comme le «Petit Père».

Le Gouvernement impérial, dans sa tentative de se concilier les faveurs de la population ouvrière, avait adopté une politique d’encouragement dans la constitution de syndicats légaux. Les révolutionnaires connus devaient en être exclus. Un prêtre orthodoxe russe, le Père Gapon, fut un des dirigeants les plus actifs dans la constitution de Syndicats Légaux. Les réformes libérales qu’avaient obtenues des citoyens non-radicaux ne plurent pas aux dirigeants du parti révolutionnaire qui proclamaient «qu’on ne pouvait obtenir des réformes nécessaires que par la révolution et rapidement».
Le Père Gapon s’était acquis une telle respectabilité que le Tsar et ses ministres le reçurent chaque fois qu’il souhaitait les entretenir d’un grave problème lié aux conditions de travail.
Le 2 janvier, lorsque les mauvaises nouvelles de la guerre se répandirent dans tout l’Empire, des émeutes ouvrières organisées éclatèrent dans les énormes usines Putilov à St Petersburg. On appela à la grève mais du fait de la situation générale, le Père Gapon déclara qu’il réglerait ces questions conflictuelles en en appelant directement au Tsar. [...].
Toutefois, le dimanche après-midi du 22 Janvier 1905, des milliers d’ouvriers, leurs femmes et leurs enfants, formèrent un cortège pour accompagner le Père Gapon aux portes du Palais. Selon des rapports authentiques, le cortège était tout à fait en bon ordre. Des pétitionnaires portaient des bannières faites à la hâte exprimant leur fidélité au «Petit Père». Aux portes du Palais, sans le moindre avertissement, une décharge foudroyante de fusils et de mitrailleuses dispersa le cortège dans la plus grande confusion. Des centaines d’ouvriers et leurs familles furent massacrés. La place qui faisait face au Palais se transforma en une place de chaos et d’agonie. Le 22 Janvier 1905 est connu depuis cet événement sous le nom de «Dimanche Sanglant». 

Nicolas II était-il responsable ? C’est un fait établi qu’il n’était pas au Palais ou dans la ville à ce moment-la. On sait également qu’un officier de la garde ordonna aux troupes de faire feu. Il est tout à fait possible qu’il fut une «Cellule» véhiculant la politique terroriste de ses supérieurs. Cet acte fut l’«étincelle» qui mit le feu à l’amadou» fourni par les dirigeants révolutionnaires. La «flamme» d’une révolution à grande échelle suivit.
Sans prendre en considération le fait de savoir qui était responsable de cet acte, nous devons constater que des dizaines de milliers d’ouvriers de l’industrie autrefois fidèles, rejoignirent le Parti Révolutionnaire Socialiste et le mouvement s’étendit aux autres villes. Le Tsar essaya de refouler cette vague de rébellion. Dès Février il ordonna de procéder à une enquête sur les événements de St Petersburg, qu’il confia à la Commission Chidlovsky. En Août, il annonça qu’on avait pris des dispositions pour l’établissement d’un Corps Législatif représentatif démocratique qui devint la Douma. Il amnistia tous les délinquants politiques et ce fut au cours de cette amnistie que Lénine et ses dirigeants Bolcheviks revinrent de Suisse au mois d’Octobre, ainsi que d’autres pays étrangers. Mais rien de ce que fit le Tsar ne put entraver la marée révolutionnaire.
Le Tsar Nicolas II tint ses promesses. La Douma fut constituée et un parlement fut élu. En 1907, le Cinquième Congrès du Parti Ouvrier Social-Démocratique Russe eut lieu à Londres. Lénine représentait le Parti Bolchevik avec 91 délégués ; les Mencheviks dirigés par Martov avaient 89 délégués ; Rosa Luxemburg dirigeait ses Démocrates-Sociaux Polonais et amenait 44 délégués ; le «Bund» Juif dirigé par Rafaël Abramovitch en avait 55 ; les Démocrates Sociaux Lettons dirigés par le camarade Herman (Danishevsky) complétaient la panoplie. Il y avait en tout 312 délégués dont 116 étaient ou avaient été ouvriers On avait convoqué ce Congrès pour tirer toutes les leçons de l’échec de 1905.

La Révolution de 1905 terminée, le Tsar Nicolas II entreprit de faire des réformes nombreuses et radicales, entre autres de transformer la monarchie absolue Russe en Monarchie Constitutionnelle à l’image de la monarchie britannique. Dès que la Douma commença à fonctionner, le Premier ministre Peter Arkadyevich Stolypine s’avéra grand réformiste. Il domina la politique russe et fit le Projet de «Constitution Stolypine» qui garantissait les droits civils aux paysans qui représentaient alors dans les 85% de la population Russe. Ses réformes agraires accordaient une aide financière aux paysans de façon à ce qu’ils pussent acheter leurs propres fermes. Son idée était que la solution logique pour contrecarrer ceux qui recommandaient un mode de vie collectif, devait encourager la propriété individuelle. Mais les dirigeants révolutionnaires voulaient usurper le pouvoir politique et économique. Ils ne furent pas du tout satisfaits des réformes.
En 1906, le Groupe Terroriste essaya d’assassiner Stolypine en détruisant sa maison au moyen d’une bombe. On fomenta de nombreux complots afin de supprimer le Premier ministre le plus progressiste que les Russes pouvaient espérer. Par une sombre nuit de Septembre 1911, le Grand Emancipateur fut mortellement blessé d’un coup de feu alors qu’il assistait à une représentation de gala au théâtre de Kiev. L’assassin était un homme de loi Juif, un certain Mordecai Bogrov.

Et en 1913, le gouvernement du Tsar accorda une amnistie générale à tous les prisonniers politiques. Dès qu’ils furent sortis de prison, ils recommencèrent à comploter avec une énergie décuplée le renversement du gouvernement russe. Les terroristes recommandèrent l’élimination de la famille impériale. Mais les réformes avaient séduit la grande majorité du peuple russe. La Révolution ressemblait, à ce moment-la, à une voie sans issue. Les dirigeants du Mouvement Révolutionnaire décidèrent qu’ils accorderaient provisoirement un sursis à la Russie. Ils concentrèrent leurs efforts sur les autres pays ; le Portugal et l’Espagne se signalèrent à leur attention.

L'un de principaux bras droits de Lénine est alors Iakov Sverdlov. Iakov Mikhaïlovitch Sverdlov de son réel patronyme Iankel Solomon est accusé d'avoir donné l'ordre de l'assassinat du tsar Nicolas II et de la famille impériale, en 1918. Né dans un milieu juif, son père Mikhaïl Izrailevitch est un chaudronnier et graveur sur cuivre itinérant relativement prospère, lui-même originaire de la région de Białystok, en Pologne, aux confins des frontières biélorusse et lituanienne. Sa mère, Elisabeth Solomonovna Averbach est apparentée aux familles commerçantes d’une cité qui connaît depuis le début du xixe siècle un vigoureux développement économique. Il a comme frère Zinovi Pechkoff (1884-1966), antirévolutionnaire qui deviendra un général et diplomate français.

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