Terreur rouge
The Red Terror ("GPU" en allemand) est un film allemand de 1942 réalisé par Karl Ritter, il est remarquable pour la représentation grossière et brutale des communistes.
Olga Feodorovna, une Allemande balte , a vu sa famille massacrée par le GPU (Police secrète sovietique) . Elle s'y joint pour retrouver les meurtriers. Après avoir vengé les morts, elle se suicide.
sources:
Checkist
Chekist nous plonge au plus près des exécutions organisés par la Cheika, la police secrète de Lénine établie après la Révolution Bolchévik. Autant le dire tout de suite le film est vraiment glauque et très cru. Pendant quasiment l'intégralité du métrage des gens enfermés dans un sous sol sont amenés à se déshabillés complètement avant d'être amenés face à une porte afin d'être fusillé [...].
A l'instar d'un Salo de Pasolini le film choisi de montrer une violence brute, froide et outrancière pour dénoncer le résultat du régime totalitaire de l'époque. Rarement l'expression "exécutions de masses" n'aura aussi bien porté son nom et été retranscrit d'une manière si littérale à l'écran.
Un film pas facile d'accès de part sa violence crue et répétitive mais à voir au moins une fois.
sources:
La Cheka
La Cheka (parfois appelée VeCheka ou Tchéka) était la très redouté bolchevique agence de sécurité, créée pour identifier et éradiquer les activités contre-révolutionnaires. La Tcheka est parfois appelée la «police secrète» bolchevique [...].
La Cheka a été formée à la suite de la Octobre révolution 1917, en tant que petite agence chargée d'enquêter et de faire face aux menaces pesant sur le nouveau régime. Ce devait être «l'épée et le bouclier de la révolution», défendant le nouveau régime contre ses ennemis à l'intérieur. Son premier chef était Félix Dzerzhinsky.
À mesure que l'opposition au régime bolchevique grandissait avec 1918, la taille et le pouvoir de la Tchéka augmentaient. Entre 1918 et 1920, la Tcheka est passée de deux cents enquêteurs à un monstre bureaucratique et paramilitaire contenant plus d’agents 100,000.
La Cheka devint un modèle pour les services de police secrets du 20e siècle dans les États totalitaires, y compris la Gestapo (Allemagne nazie), la Stasi (Allemagne de l'Est) et le KGB (Russie soviétique).
Le décret formant la Tcheka était libellé de manière large et contenait peu d'instructions spécifiques sur son fonctionnement. Lénine a préféré laisser les détails et les méthodes opérationnelles de la Tcheka à l'homme qu'il avait choisi pour la diriger: Félix Dzerzhinksy.
Dzerzhinksy avait consacré sa vie à la cause bolchevique. Son caractère impitoyable et son fanatisme sont venus rivaliser avec ceux de Lénine.
Née en Pologne en 1877, la famille de Dzerzhinsky était une riche noblesse terrienne revendiquant un titre noble. C'était un radical des plus improbables - pourtant au milieu des années 1890, Félix était multilingue et parlait couramment le Yiddish, pratique pour converser avec la mafia Khazare.
A retenir:
La Tchéka était la force de sécurité bolchevique ou la police secrète. Elle a été formée par Vladimir Lénine dans un décret de décembre 1917 et chargée d’identifier et de traiter avec des contre-révolutionnaires potentiels.
Emblème de la Cheka
Certaines des méthodes les plus horribles de Cheka ont été décrites par l'historien Orlando Figes dans son livre Une tragédie populaire:
L'ingéniosité des méthodes de torture de la Tcheka n'a été égalée que par l'Inquisition espagnole. Chaque Cheka locale avait sa propre spécialité. À Kharkov, ils se sont lancés dans le `` tour du gant '' - brûler les mains de la victime dans de l'eau bouillante jusqu'à ce que la peau boursouflée puisse être décollée: cela a laissé les victimes avec des mains crues et saignantes et leurs tortionnaires avec des `` gants humains ''. Le Tsaritsyn Cheka a scié les os de ses victimes en deux. À Voronej, ils ont roulé leurs victimes nues dans des barils cloutés. À Armavir, ils ont écrasé leur crâne en resserrant un bracelet en cuir avec un boulon de fer autour de leur tête. À Kiev, ils ont apposé une cage avec des rats sur le torse de la victime et l'ont chauffée pour que les rats enragés se frayent un chemin à travers les tripes de la victime dans le but de s'échapper. A Odessa, ils ont enchaîné leurs victimes à des planches et les ont poussées lentement dans un four ou une cuve d'eau bouillante. Une torture hivernale préférée était de verser de l'eau sur les victimes nues jusqu'à ce qu'elles deviennent des statues de glace vivantes.
Chers frères Russes réveillez-vous, connaissez votre histoire et cessez d'encenser le psychopathe criminel Khazare Lenine.
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