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mercredi 28 juillet 2021

Bacchanales, Martinales, Saturnales et Carnavals mystiques



La bacchanale serait une danse française de la fin du XVIIIe siècle, bruyante et tumultueuse, particulièrement prisée sous le Directoire. Elle fut ensuite introduite dans plusieurs opéras et ballets.
C'est aussi un fête bruyante et débridée, associée à danse, déguisement, excès de boisson et/ou de nourriture, etc.
La martinale est une sorte de bacchanale organisée à l’occasion de la fête de la Saint-Martin, le 11 novembre. [...] En 578, un concile réuni à Auxerre condamna les Martinales où l'on buvait sans modération le vin nouveau.

Dionysos, appelé Bacchus par les Romains, est le dieu du vin et de la végétation dans la mythologie grecque. Il est couramment figuré sur les vases attiques munis d’une corne à boire et tenant le thyrse, bâton surmonté d’une pomme de pin. Il est aussi représenté accompagné de son cortège, le thiase, qui donna naissance au théâtre, constitué de démon de la nature: ménades, satyres et silènes ses compagnons favoris.
Les festivités en l’honneur de Bacchus étaient le modèle type de l’orgie (kômos en grec). Ce mot figure trois fois dans les Ecritures, toujours dans un sens défavorable (Romains 13:13; Galates 5:21; 1 Pierre 4:3).

On a établi des similitudes entre les Bacchanales et les fêtes du carnaval
Les Grecs appelaient komos ou divertissement le spectacle donné par une troupe de gens portant les phallus sacrés et chantant des poèmes lyriques. Le mot kômoïs vient de Comus, le dieu du banquet ; d’où le nom de Comastes donnés à ces orgies licencieuses. En plus de l’esprit libertin général si caractéristique du carnaval, le mot lui-même rappelle son origine païenne. Il viendrait de carrus navalis, char de la mer, véhicule en forme de bateau et monté sur roues, utilisé dans les processions de Dionysos ; ou bien il désignerait le moment où la corne (carn) va ‘avale’, c’est-à-dire tombe (ceci rappelle des similitudes avec les chars des parades carnavalesques). 
On parle aussi des saturnales suivi de mise à mort à la fin des Bacchanales. Malgré la ‘christianisation’, les similitudes entre la fête du carnaval et ces anciennes festivités païennes en l’honneur de Dionysos sont bien réelles. 

Pour en revenir au carnaval, cette période de l’année est marquée par des réjouissances profanes et qui va de Noël (ou de la Chandeleur) au Mercredi des cendres. Ripailles et mascarades se multiplient alors sans retenue aucune jusqu’à ce que commence les quarante jours de Carême prescrit par l’Eglise. Les catholiques observent alors un jeûne traditionnel. « Carême-entrant » (Quadragesimma intrans) désigne les trois jours qui précèdent le Mercredi et plus spécialement le « Mardi gras » qui en est la veille.
Quelle que soit l’étymologie du mot “carnaval”, les faits démontrent clairement que cette fête précédant le carême n'a pas une origine chrétienne.

Selon le dictionnaire de Funk & Wagnalls :
« Les jeux du carnaval se sont développés à partir des chants burlesques et des bouffonneries des personnages déguisés qui suivaient les processions teutoniques de chars en forme de bateau. »  
Les pièces jouées durant le carnaval semblent démontrer que ce nom dérive bien de termes signifiant “déraisonner”.
Dans les pays allemands, on appelle Fasching, Fastnacht ou Fasenacht la fête qui précède le carême. Ce terme dériverait de fasen ou faseln qui signifient “déraisonner”, “dire des bêtises”. Il désignerait alors une fête caractérisée par la folie, les orgies et la débauche. La signification du nom allemand de Carnaval correspond assez bien aux nombreuses coutumes caractérisant cette fête.


Une origine du mot “carnaval” à partir de carrus navalis serait-elle plus exacte ? Selon cet ouvrage, « Le mot carnaval vient de carrus navalis, char de la mer, véhicule en forme de bateau et monté sur roues, utilisé dans les processions de Dionysos (plus tard dans des processions organisées pour d’autres fêtes) et d’où toutes sortes de chants satyriques étaient chantés.»
Cette explication est d’autant plus plausible que les fêtes célébrées par de nombreux peuples anciens étaient caractérisées par la procession de chars en forme de bateau, par des danses lascives et par des déguisements.

Cette fête précédant le carême a bien une origine païenne. Dans l’Encyclopédie de la religion et de l’éthique, de James Hastings, on trouve cette explication :
« Les processions athéniennes comportant des chars en forme de bateau étaient organisées en l’honneur du dieu Dionysos. Le culte de Dionysos se retrouve dans les bacchanales et les lupercales romaines,
fêtes qui, à la fin de l’Empire romain, se caractérisaient par des plaisanteries obscènes et une liberté sans retenue, et se déroulaient dans un désordre civil temporaire. Cet esprit général ainsi que certains aspects particuliers ont été transmis à la fête de carnaval entre autres, ce qui explique pourquoi celle-ci a revêtu ce caractère spécial dans des régions où la civilisation romaine exerça une influence souveraine. » (T-III, p 226)

« En opérant des changements opportuns dans le caractère de fêtes populaires célébrées depuis longtemps et qui ne pouvaient être purement et simplement abolies, l’Église choisit de leur conférer des raisons chrétiennes, procédé qui fut largement utilisé pour les fêtes du carnaval. » 
[...] Dans son ouvrage Le rameau d’or, James G. Frazer fait ce constat : "On a souvent remarqué la ressemblance entre les anciennes saturnales et le carnaval de l’Italie moderne; cependant, à la lumière de tous les faits qui nous ont été présentés, nous pouvons nous demander si cette ressemblance ne devient pas une similitude."

" Nous avons vu qu’en Italie, en Espagne et en France, c’est-à-dire dans les pays où l’influence de Rome a été la plus grande et la plus durable, une caractéristique remarquable du carnaval est le personnage burlesque qui personnifie la période des réjouissances et qui, après une gloire et un divertissement éphémères, est publiquement abattu, brûlé ou détruit d’une autre façon aux yeux de la populace, qui feint de s’attrister ou se réjouit franchement.
Si le point de vue exprimé ici à propos du carnaval est correct, ce personnage grotesque n’est nul autre que le successeur direct du vieux roi des saturnales, le maître des bacchanales qui, à la fin des anciennes festivités païennes, était aussi mis à mort. »

Ce sont sous des formes latines qu’il est d’abord fait mention au XIIè de la période de l’année correspondant à Carnaval. On pense généralement que le mot serait composé du radical carn désignant
‘la viande’ et de la locution adverbiale à val signifiant ‘vers le bas’, chair, soir "Pouvoir de la chair".
 
Bacchanales 
suivies de mise à mort

 
De la Rome antique vers le carnaval caraibéen

Avec la découverte de l'île en 1498 lors du troisième voyage de Christophe Colomb, Trinité-et-Tobago devient territoire et une colonie de l'Empire espagnol, un avant-poste stratégique et privilégiée, grâce à sa position géographique favorable, pour le contrôle de la zone continental contigu correspondant à celui de l'Amérique du Sud aujourd'hui. [...] Les colons souhaitant échapper à la tourmente de la Révolution française, avec leurs esclaves créoles, mulâtres et les hommes de couleur libres des îles voisines de Saint-Vincent, Grenadines, Grenade, Guadalupe, Martinique et Dominique, ont peuplé Trinité pour travailler dans les plantations de canne à sucre, stimulée par l'exemption de taxes pendant dix ans et les pouvoirs des parcelles de terres cultivables.
En 1797, Trinité est devenu une colonie de la Couronne britannique, avec une population de français et soumis au droit espagnol. [...] Le carnaval est importé de France et intégré par les coutumes et les traditions des esclaves.
 
 


Quel est le regard de l’Eglise naissante ?

L’Eglise a repris en partie ces célébrations printanières, en les adaptant pour « être mises au service de la vraie foi, selon leur sens et leur symbolisme naturels pourvu que leur usage fût changé en une signification authentiquement chrétienne» (p 12).

Ces fêtes carnavalesques, joyeuses et relâchées, reflètent bien dans leur complexité les dimensions essentielles de toutes les autres fêtes de l’année.
L’Eglise a repris en partie ces célébrations printanières, en les adaptant pour « être mises au service de la vraie foi, selon leur sens et leur symbolisme naturels. » (page 12)

L’Encyclopédie britannique montre également que la fête de carnaval célébrée dans les pays catholiques est en réalité une adaptation des anciennes fêtes païennes.
On ne peut guère douter que cette période de débauche représente un de ces compromis que l’Église a toujours été encline à faire avec les fêtes païennes et que le Carnaval remplace en réalité les saturnales romaines. Rome a toujours été le siège du carnaval, et bien que certains papes, notamment Clément IX, Clément XI et Benoît XIII, aient fait des efforts pour endiguer la marée des bacchanales, d’autres protégeaient et organisaient même ces fêtes. » (onzième édition, tome V, page 366)
L’Église a ainsi permis au peuple de continuer à célébrer ses fêtes, mais elle a donné à celles-ci une signification différente, les associant aux doctrines de l’Église. Quelle que soit l’étymologie du mot “carnaval”, les faits démontrent clairement que cette fête précédant le carême a une origine païenne.
 
sources:


Ci-dessous quelques exemples d'artistes donnant des performances de danse bacchanale, plus ou moins "soft", de la version traditionnelle à une version plus moderne (soca bacchanale par exemple), en passant par des rassemblements proches des bacchanales mais où l'on danse moins, voire pas du tout :




En passant par le libertinage* qui constitue un autre type de dépravation en group ...
*Terme qui tire son nom du latin « libertinus », terme renvoyant, dans la Rome antique [...].

Les harems*, autre forme de dépravation en groupe.
*la suite de femmes (concubines ou simples « beautés ») qui entouraient un personnage important et leur lieu de résidence. Par extension, le terme est aussi utilisé pour d'autres civilisations, comme l'Égypte ancienne ou la Chine impériale.


Le harem est avant tout un lieu où résident les concubines officielles du seigneur, ainsi que les femmes qui ont été placées à son service (de gré ou de force). Elles ont pour tâche de lui donner des enfants pour les premières et de le divertir (musique, danse et sexe par les odalisques) pour les secondes. Y sont également élevés les enfants achetés au marché aux esclaves.
Ces femmes étaient choisies pour leur beauté, mais aussi pour leurs capacités à divertir le sultan : elles devaient, par exemple, montrer des aptitudes au chant ou à la danse. Les Circassiennes, les Syriennes et les Nubiennes étaient les trois ethnies principales de femmes vendues comme esclaves sexuelles dans l'Empire ottoman. Décrites comme belles et à la peau claire, les Circassiennes étaient fréquemment envoyées par les chefs circassiens comme cadeaux aux Ottomans. Elles étaient les plus chères et les plus populaires parmi les Turcs. Les deuxièmes en popularité étaient les Syriennes aux yeux noirs, aux cheveux noirs et à la peau brun clair, qui venaient en grande partie des régions côtières de l'Anatolie. Les Nubiennes étaient les moins chères et les moins populaires.



Un peu de vocabulaire:
  • Bacchanale: Fête païenne de la Rome antique. Rituels dédiés au dieu Bacchus.
  • Masquerade: Personnages costumés ou visées dans la bande.
  • Canboulay (du français cannes et brûlées): Ce qui signifie « bâtons brûlés ». Simulation de se battre avec des bâtons. Rites commémoratifs et processions de canne de bambou aux flambeaux.
  • Carnival Sunday ou Old Mas ou Big Sunday ou Dimanche Gras: Nomination du roi et de la reine du carnaval.
  • J'Ouvert ou Carnival Monday ou lundi gras: 'Jour ouvert' ou 'Day open', reconstitution des rites de la Canboulay d'impression mémorial fête.
  • Carnival Tuesday ou Mardi gras: Dernier jour du carnaval avec les groupes masqués pour la Grand Parade.
  • Jumping up: Saut de joie et d'accomplissement. pour éventuellement semer la peur.
  • Wining: Mouvement sensuel érotique du bassin qui simule les danses nuptiales lors de l'exécution du "Soca Calypso". 
  • Bookman:  Le Bookman apporte un grand livre et un stylo pour écrire les noms des âmes possibles à la diable. 
  • Jab Jab Jab: Est le terme pour toute l'assemblée des diables qui caractérise la J'Ouvert
source:



Destra Garcia

Destra Garcia est connue sous le nom de Queen of Bacchanal [...]. Elle est également connue pour avoir un alter ego nommé Lucy qui est censé personnifier l'aspect plus sexuel de Destra. 




Dans sa chanson sortie en 2017, "Destra vs. Lucy", l'une des lignes chantées est, "Cause I will sing like Destra, but still work it like Lucy" qui indique aux auditeurs que Lucy est l'ego sexuel et Destra est celle qui chante. 
Dans une interview (émission de radio appelée "Breakfast Party"), la chanteuse révèle que Destra retient [Lucy] .... Cela fait que les auditeurs considèrent Destra comme une personne plus timide, ce qui gonfle la sexualité de Lucy à cause de cet écart.

On suppose que l'ego sexuel de Destra Garcia, "Lucy" vient du Carnaval de Trinidad. Dans sa chanson "Lucy", elle raconte qu'elle a grandi en étant une bonne fille et une bonne élève, mais qu'un jour, lorsqu'elle a été exposée au Carnaval, elle a commencé à devenir très sexuelle, tout comme ses danses. Aujourd'hui, le Carnaval consiste en des femmes qui se déguisent et "montrent" leur corps par la danse et des vêtements révélateurs, ce qui crée beaucoup de tension sexuelle et correspond à ce que Destra a probablement vu à la télévision. 




source:



Alison Hinds
 
Alison Hinds est née à Londres le 1er juin 1970 et a grandi à Plaistow. Ses deux parents étaient originaires de l'île de la Barbade, son père étant ouvrier à l'usine Ford de Dagenham. À l'âge de 11 ans, ses parents se sont séparés et elle a émigré à la Barbade avec sa mère [...]. Elle est connue comme la "Reine du Soca".





Selena Quintanilla-Pérez

Née de parents americanos-mexicains (Abraham Quintanilla Jr et Marcella Ofelia), Selena eut un succès fulgurant et fut surnommée la « reine de la musique Tejano. La chanteuse a été assassinnée en 1995 par la présidente de son fan-club.

 






[…] Il faut se détourner de toute autre musique du monde qui n'apporte pas gloire et honneur au seul vrai Dieu vivant, le Christ Sauveur. 
La musique a été créée par Dieu pour l'adorer et lui seul en esprit et en vérité. Le chef des musiciens dans le ciel destiné à apporter la gloire et l'honneur à Dieu, était lucifer/samaël et il est devenu satan l'adversaire après qu'il soit tombé et jeté hors du ciel avec un tiers des anges […].
Repentez-vous !!!!!!!! détournez-vous de l'adoration de ces célébrités du carnaval, de ces "artistes soca", "performers", "entertainers" aveugles, mauvais et méchants et de toutes les autres célébrités, performers et entertainers mondains qui ne connaissent que la folie, les mensonges, les tromperies et les ténèbres qui vous mèneront au puits de l'enfer pour l'éternité. 
Les aveugles conduisent les aveugles et ils tombent dans la fosse. ils vous conduiront à la mort, à la destruction et à la damnation éternelle en enfer. L'ennemi/le diable n'est venu que pour voler, tuer et détruire. 

sources:


Après que Caïn descendit dans la région de terre noire, et que ses enfants s’y multiplièrent, l’un
d’entre eux du nom de Genun [...]. Quant à ce Genun, satan était venu à lui dans son enfance et fit: 
  • diverses trompettes et cornes et des instruments à corde, cymbales, luths, lyres, harpes et flûtes, qu’il jouait en tout temps et à toute heure ; 
  • et quand il en jouait, satan entrait en eux en faisant entendre de beaux et doux sons parmi eux qui ravissaient les coeurs. 
  • Il joignait alors groupe sur groupe pour en jouer, et quand ils jouaient, cela plaisait beaucoup aux enfants de Caïn qui s’enflammaient entre eux du péché, brûlant comme un feu.
  • Satan apprit aussi à Genun à tirer des boissons fortes du grain, que ce Genun utilisait pour joindre groupe sur groupe ensemble dans les maisons de boisson et mettait dans leurs mains toutes mixtures de fruit et fleur qu’ils buvaient ensemble. 
  • Ainsi faisant, ce Genun multiplia extrêmement le péché. Il agissait aussi avec orgueil et apprit aux enfants de Caïn à commettre toutes sortes de vulgarité haineuse qu’ils ne connaissaient pas, et les forçant à de multiples occasions qu’ils ne connaissaient pas avant. 
  • Et satan, voyant qu’ils penchaient tous vers Genun et l’écoutaient dans tout ce qu’il leur disait, se réjouit grandement et augmenta la compréhension de Genun jusqu’à prendre du fer pour en faire des armes de guerre. 
  • Et quand ils étaient saouls, le meurtre et la haine s’amplifièrent parmi eux : un homme usait de violence envers un autre pour lui apprendre [le mal], prenant ses enfants et les souillant devant lui. Et quand les hommes voyaient qu’ils étaient vaincus et [en voyaient] d’autres qui n’étaient pas battus, ceux qui s’étaient fait battre venaient vers Genun se refugier auprès de lui et devenir ses complices.
Le péché augmenta excessivement parmi eux, allé jusqu’à ce qu’un homme marie sa propre soeur ou fille, sa mère, ou la fille de la soeur de son père, jusqu'à ce qu’il n’y avait plus de distinction [de parenté] et qu’ils ne savaient plus ce qui était illicite, car ils étaient malfaisants. Et la terre fut souillée du péché et ils mirent Dieu en colère, le Juge qui les avait créés. Et Genun joignait groupe sur groupe ensemble au pied de la Montagne sacrée pour jouer des cornes et tous les autres instruments que nous avons mentionnés. Ils agissaient ainsi pour que les enfants de Seth qui étaient sur la Montagne sacrée puissent les entendre. Et lorsque les enfants de Seth entendirent le son, ils s’émerveillèrent et vinrent en groupe se tenir du haut de la montagne pour regarder en bas vers eux. Ils firent cela pendant une année complète. À la fin de cette année, Genun vit qu’ils étaient petit à petit conquis par lui, satan entra en lui et lui montra comment faire :
  • des teintures sur divers modèles d’habits et lui fit comprendre quoi teindre en pourpre et violet et quoi non. 
  • Et les fils de Caïn fabriquèrent tout cela et brillant de beaux et somptueux habillements, 
  • ils se rassemblèrent au pied de la montagne en éclat, avec des cornes, des habits magnifiques et des chevaux de courses, en commettant toutes sortes de bassesse. 
  • [...] Par la suite , les enfants de Seth, se relâchèrent leur jeûne et leur prière, et le conseil de Jared leur père et continuaient à se réunir ensemble du haut de la montagne, pour regarder les enfants de Caïn du matin au soir, sur ce qu’ils faisaient, et leurs beaux vêtements et leurs parures. 
  • [...] Et ils descendirent de la Montagne sainte. Et dès qu’ils virent les filles de Caïn, leurs beaux visages, leurs mains et leurs pieds teints de couleur, leurs visages tatoués d’ornements, le feu du péché s’alluma en eux. 
  • Car satan les fit paraître très belles vis-à-vis des fils de Seth, comme il fit paraître les fils de Seth plus beaux aux yeux des filles de Caïn, qu’ainsi les filles de Caïn convoitent les fils de Seth et les fils de Seth les filles de Caïn comme des bêtes affamées, jusqu’à commettre l’infamie entre eux. 

source:
Le Combat d'Adam et Eve





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