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vendredi 30 juillet 2021

La LUCIFERASE

Des ingénieurs du Massachusetts Institute ot Technology (MIT) ont inventé des nanoparticules injectables sous la peau qui pourraient un jour servir à confirmer qu'une personne a bien été vaccinée. Un concept destiné en priorité aux pays en développement.

Des ingénieurs du MIT ont inventé des nanoparticules injectables sous la peau qui émettent une lumière fluorescente invisible à l'oeil nu mais visible par un smartphone, et qui pourraient un jour servir à confirmer que la personne a bien été vaccinée. L'idée est d'inscrire sur le corps lui-même la preuve du vaccin, dans des pays en développement où les cartes de vaccination en papier sont souvent erronées ou incomplètes, et où les dossiers médicaux électroniques inexistants. 
Le système, décrit [...] dans la revue Science Translational Medicine, n'a pour l'instant été testé que sur des rats mais les chercheurs, financés par la Fondation Bill et Melinda Gates, espèrent les tester sur des humains en Afrique dans les deux prochaines années, dit à l'AFP la coautrice Ana Jaklenec, ingénieure biomédicale de MIT.


Injecter le vaccin contre la rougeole en même temps que ces petits points

Les ingénieurs ont passé beaucoup de temps à trouver des composants à la fois sûrs pour l'organisme, stables et capables de durer plusieurs années. 
La recette finale est composée de nanocristaux à base de cuivre, appelées des boîtes quantiques ("quantum dots" en anglais), de 3,7 nanomètres de diamètre, et encapsulés dans des microparticules de 16 micromètres (1 micromètre égale un millionième de mètre, et 1 nanomètre égale un milliardième). [...]

Après avoir été appliquées sur la peau pendant deux minutes, les microaiguilles se dissolvent et laissent sous la peau les petits points, répartis par exemple en forme de cercle ou bien d'une croix. Ces petits points sont excités par une partie du spectre lumineux invisible pour nous, [...]. Un smartphone modifié, pointé sur la peau, permet de faire apparaître, fluorescent sur l'écran, le cercle ou la croix. Les chercheurs voudraient qu'on puisse injecter le vaccin contre la rougeole en même temps que ces petits points. Un médecin pourrait des années plus tard pointer un smartphone pour vérifier si la personne a été vaccinée.


Les limites du concept

[...] La limite du concept est que la technique ne sera utile pour identifier les enfants non-vaccinés que si elle devient l'outil exclusif. En outre, les gens accepteront-ils de multiples marquages sous la peau, pour chaque vaccin ? Et qu'adviendra-t-il des points quand le corps des enfants grandira ?


sources:



Pourquoi cet article mainstream n'évoque pas la luciférase ou le projet LULISA de l'institut Pasteur ?

Car c'est bien de ça dont il s'agit: Ces nanoparticules contiennent de la LUCIFERASE.
Les luciferases sont des enzymes fréquents dans les espèces marines des abysses (méduses, crevettes, poissons), mais aussi dans les espèces terrestres (lucioles, scarabées). De nouvelles luciferases sont découvertes régulièrement et certaines produisent des émissions lumineuses plus intenses souvent bleues quelques fois vertes, oranges ou rouges, lorsqu’elles sont associées à des protéines fluorescentes. Les luciferases sont donc capables d’émettre très efficacement de la lumière en présence d’un substrat de synthèse. 

L'institut Pasteur développe un projet dans ce sens appelé LULISA.

source:



Et voici un chercheur scientifique qui met au point une méthode révolutionnaire


Que veux-t-on nous faire croire ? 
Que ces recherches sont solitaires et non coordonnées ?

Il n’a pas fallu beaucoup de temps à Taha Azad pour mettre son expertise au service de la recherche contre le cancer, et adapter ses travaux à la quête d’un vaccin et d’un remède contre la COVID-19. Le scientifique est un spécialiste de la luciferase, l’enzyme responsable de la luminescence chez les lucioles. « Pendant mon enfance dans le nord de l’Iran, j’aimais bien observer les lucioles, et je me demandais comment elles faisaient pour émettre de la lumière », explique-t-il [[comme par hasard]].

Jusqu’à tout récemment, Taha Azad se concentrait sur la recherche contre le cancer, première cause de décès au Canada, mais il a réorienté son travail vers la recherche d’un vaccin et d’un remède contre la COVID-19 avant même que l’état de pandémie ne soit officiellement déclaré. 
Toutefois, le mérite d’avoir pensé à adapter ses travaux sur les biocapteurs à la recherche d’un vaccin revient en partie à sa femme, Mina Ghahremani. La chercheuse en biochimie et biologie moléculaire de l’Université d’Ottawa travaille auprès de la professeure de biologie Allyson MacLean à la mise au point d’un vaccin comestible contre la COVID-19. « [Mina] a suggéré que je crée des biocapteurs pour la COVID-19 en janvier, avant même que le virus ne soit détecté au Canada », raconte le chercheur, qui souligne la difficulté de concevoir des biocapteurs pour un virus qu’on connaît encore si peu.

Taha Azad et ses collègues utilisent la luciferase de lucioles — ce qui fait qu’une protéine peut émettre de la lumière — pour créer des biocapteurs qui peuvent détecter des anticorps contre le SARS-CoV-2 en moins de 30 minutes. Ces biocapteurs, jusqu’ici testés sur des souris, servent à vérifier la présence d’anticorps dans le sang. « Le temps presse, mais il y a une belle collaboration entre les scientifiques » , souligne le scientifique, très fier de travailler avec les chercheurs John Bell, Carolina Ilkow et Jean-Simon Diallo, de la Faculté de médecine et de l’IRHO, à la recherche d’un vaccin et d’un remède contre la COVID-19.

[[la belle histoire]]

source:



Un petit tour sur msn.com qui dénonce les fake news

[...] Certaines personnes sont préoccupées par plusieurs différentes théories du complot, le vaccin est la marque de la bête parce que l’un de ses composants est la “Luciferase” et ils le relient à “Lucifer” (le diable selon la croyance chrétienne).
Une vidéo Youtube publiée le 1er décembre 2020 affirme que la luciferase est ajoutée aux vaccins Covid-19 «pour détecter ceux qui ne l’ont pas prise». L’éditeur vidéo a ensuite affirmé qu’il était “partiellement vrai” que Luciferase avait “été nommé par son fondateur après Lucifer”.

Une recherche Wikipedia explique que la luciferase “est un terme générique pour la classe des enzymes oxydantes qui produisent la bioluminescence, et se distingue généralement d’une photoprotéine. Le nom a été utilisé pour la première fois par Raphaël Dubois qui a inventé les mots luciférine et luciférase, pour le substrat et l’enzyme, respectivement.”

source:











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